Lettres persanes 2.016

Crédits photo : Guillaume Allard

Cette histoire d’Iran est la nôtre. Deux quidams pour qui, plus jeunes, un Shah était un fabuleux animal de compagnie, deux amis qui, en grandissant, se sont mis à rêver de traverser les rues de Persepolis, victorieux de Darius Ier, deux amis, qui finalement n’ont connu la Perse qu’à travers le regard d’écrivains, de philosophes ou d’historiens.

Cette histoire, nous vous la livrons telle que nous l’avons vécue afin que vous puissiez partager la découverte de ce pays singulier et envoûtant.

Retrouvez l’ensemble des carnets de voyages de Guillaume Allard et Thomas Alves-Chaintreau sur le Huffington Post France et le Huffington Post Québec :

Chapitre 1Lettres persanes 2.016 : «Comment nous avons décidé de partir en Iran sur un coup de tête»http://huff.to/29fQpBI

Chapitre 2 Lettres persanes 2.016 : «En Iran, les êtres humains sont comme nous»http://huff.to/29vd0dv

Chapitre 3Lettres Persanes 2.016 : «Le Bazar du non bizarre» – http://huff.to/29HvVPW

Chapitre 4Lettres persanes 2.016 : Dans le bus entre Téhéran et Yazd, quand mon voisin se lâche sur le régime iranien – http://huff.to/29XSFMi

Chapitre 5 – Lettres persanes 2.016 : Le Zoroastrisme comme philosophie de l’Iran d’hier, d’aujourd’hui et de demain – http://huff.to/2auAv7E

2 comments

  1. Votre assertion sur l’opportunité d’aller à Persépolis pour tout voyageur se rendant en Iran
    ne serait-elle pas un brin provocatrice ?
    J’ai aimé lire votre série sur l’Iran. Un ton entraînant et décalé.
    Je n’ai pas compris vos remarques sur Persépolis et la comparaison avec l’histoire d’Ephèse, autre cité antique flamboyante.
    Un voyage en Iran est une invitation au rêve, celui de la Perse éternelle, la cité de Persépolis en est le symbole.
    Y-a-t-il un seul voyagiste faisant l’impasse sur Persépolis ?
    Je suis allé deux fois dans ce pays en 2016, deux fois je suis allé à Persépolis, deux fois j’ai été fasciné par ce lieu.
    Peut-être que ce nom résonne trop fort dans l’imaginaire…Néanmoins, une fois sur place on ne peut qu’être émerveillé par ces vestiges.
    De la ville basse de Persépolis il ne reste effectivement rien. De la ville haute – palais brûlés par Alexandre le Grand – il reste de quoi imaginer ce que fut Persépolis.
    Une cité grandiose et multiculturelle symbolisée par ses fresques.
    Que dire enfin des monumentales tombes des quatre rois Perses (dont Darius) de Naqsh-e Rostam ? Une architecture funéraire monumentale!
    Architecture grecque et art Achéménide ne sont pas forcément opposables ;-).

    1. Monsieur Petre,

      Nous vous remercions pour votre message. Il est important pour nous d’avoir des retours positifs mais aussi constructifs sur nos articles.

      Notre vision de Persepolis, comme défendue dans le texte, est en effet provocatrice, sans pour autant être dénuée de réalité. Lors de notre arrivée sur place, nous avons été subjugué par la beauté de ces ruines. Toutefois, dans notre imaginaire, nous les pensions immenses. Est-ce l’enfant rêveur qui parlait en nous à ce moment là ? Peut-être bien. Dans tous les cas, Guillaume et moi avons eu le même constat. Persepolis s’imagine avant tout les yeux fermés.

      Nous espérons vous voir continuer à suivre La Nouvelle Chronique de près 🙂

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